Al-Ghazâli ( RA) a dit: "l'âme a deux sens :

Premièrement cela signifie les pouvoirs de la colère et l'appétit sexuel résidant en l'être humain... et ceci est la compréhension la plus commune dans le milieu des gens du soufisme, qui comprennent le mot (âme) nafs, élément responsable de tous les mauvais attributs d'une personne. Ceci est la raison pour laquelle ils disent: l'on doit combattre l'ego et le briser comme cela est souligner dans le hadith: "Ton pire ennemi est ton égo qui réside entre tes flancs".

Définition de l’âme selon Al-Imam Al-Ghazâli

Al-Ghazâli ( RA) a dit: « l’âme a deux sens :

Premièrement cela signifie les pouvoirs de la colère et l’appétit sexuel résidant en l’être humain… et ceci est la compréhension la plus commune dans le milieu des gens du soufisme, qui comprennent le mot (âme) nafs, élément responsable de tous les mauvais attributs d’une personne. Ceci est la raison pour laquelle ils disent: l’on doit combattre l’ego et le briser comme cela est souligner dans le hadith: « Ton pire ennemi est ton égo qui réside entre tes flancs ».

Le deuxième sens de l’âme (nafs) est l’esprit, l’être humain en réalité, son soi et sa personne. Cependant, il est décrit différemment selon ses différents états. S’il prend le calame en étant sous commande et s’est débarrassé des turbulences causées par l’attaque de la passion, il est appelé « l’esprit apaisé » (al-nafs al-moutmainna)… Dans son premier sens, l’âme (nafs) n’envisage pas son retour à dieu exalté soit-Il, parce qu’il s’est maintenu à l’écart de Lui: un tel nafs est du parti de satan. Mais s’il n’est pas source de tranquillité, et qu’il s’érige contre l’amour des passions et s’y oppose, il est appelé « l’âme auto-critique » (al-nafs al-lawwama), parce qu’il réprimande son maître pour sa négligence dans l’adoration de son maître… S’il cesse toute rébellion et se soumet en totale obéissance à l’appel des passions et de satan, il est nommé « l’esprit qui se joint au mal » (al-nafs al-ammara bi al-sou) ». (Ihya ‘ouloum al-din).

Ainsi, le saint Coran insiste sur l’importance de la purification de l’âme. Dieu exalté soit-Il dit: « Et par l’âme et Celui qui l’a harmonieusement façonnée; et lui a alors inspiré son immoralité, de même que sa piété ! A réussi, certes celui qui la purifie. Et est perdu, certes, celui qui la corrompt. ». (91/7-10).Al-Ghazâli ( RA) a dit: « l’âme a deux sens :

Premièrement cela signifie les pouvoirs de la colère et l’appétit sexuel résidant en l’être humain… et ceci est la compréhension la plus commune dans le milieu des gens du soufisme, qui comprennent le mot (âme) nafs, élément responsable de tous les mauvais attributs d’une personne. Ceci est la raison pour laquelle ils disent: l’on doit combattre l’ego et le briser comme cela est souligner dans le hadith: « Ton pire ennemi est ton égo qui réside entre tes flancs ». Il est disponible dans Le livre des narrations sur l’ascétisme de Al-Bayhaqi.

Le deuxième sens de l’âme (nafs) est l’esprit, l’être humain en réalité, son soi et sa personne. Cependant, il est décrit différemment selon ses différents états. S’il prend le calame en étant sous commande et s’est débarrassé des turbulences causées par l’attaque de la passion, il est appelé « l’esprit apaisé » (al-nafs al-moutmainna)… Dans son premier sens, l’âme (nafs) n’envisage pas son retour à dieu exalté soit-Il, parce qu’il s’est maintenu à l’écart de Lui: un tel nafs est du parti de satan. Mais s’il n’est pas source de tranquillité, et qu’il s’érige contre l’amour des passions et s’y oppose, il est appelé « l’âme auto-critique » (al-nafs al-lawwama), parce qu’il réprimande son maître pour sa négligence dans l’adoration de son maître… S’il cesse toute rébellion et se soumet en totale obéissance à l’appel des passions et de satan, il est nommé « l’esprit qui se joint au mal » (al-nafs al-ammara bi al-sou) ». (Ihya ‘ouloum al-din).

Ainsi, le saint Coran insiste sur l’importance de la purification de l’âme. Dieu exalté soit-Il dit: « Et par l’âme et Celui qui l’a harmonieusement façonnée; et lui a alors inspiré son immoralité, de même que sa piété ! A réussi, certes celui qui la purifie. Et est perdu, certes, celui qui la corrompt. ». (91/7-10). Il est disponible dans Le livre des narrations sur l’ascétisme de Al-Bayhaqi.

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