Louange à Dieu comme rappel aux serviteurs et comme raffermissement dans la dévotion pour les pieux parmi les musulmans, et que la grâce et la félicité soient sur le prophète de la religion pure sur sa famille, sur ses compagnons, sur ceux qui suivent sur la voie de la bienfaisance et de l’excellence et sur les savants de la commenté des musulmans de tous temps.
Celui qui est pleinement dans une situation de familiarité n’a de désir que pour l’isolement.
Celui qui est pleinement dans une situation de familiarité n’a de désir que pour l’isolement.
L’amour exige la douceur des mots de l’Aimé et celle de son invocation. Dieu a dit à Sidna Daoud : « désire-moi, sois dans ma familiarité et aies de la confiance à l’égard de quiconque autre que moi.
On demande à Rabi’a : « Comment as-tu pu avoir ce degré ? » Elle répondit : « En ne me mêlant pas de ce qui ne me regarde pas et en me reposant dans celui qui est éternel »
Abd ElWahed Ibn Zeyd raconte : « je passais à coté d’un moine, je lui demandais : Alors, moine, l’isolement te plait ? » il répondit : « Si tu goûtes des délices de l’isolement, tu te méfieras de toi-même » Je lui demandais à nouveau :Quel est le moins que tu trouves dans l’isolement ?
« La protection contre l’hypocrisie et contre les méfaits des gens » dit-il
« Quand est-ce que l’homme goûte aux délices de la familiarité de Dieu ? Poursuivis-je
« Lorsque la sincérité existe dans le sentiment et que la conduite est pure »
« Et quand est-que le sentiment est pure ? » dis-je
« Quand tous les soucis ne deviennent qu’un seul dans l’obéissance » répondit-il !
Un sage se demandait : « Il est étonnant que les gens cherchent autre que Toi. De plus, il est aussi étonnant que les cœurs soient familiers avec d’autre et s’éloignent de Toi. »
Le signe particulier de la familiarité est l’assiduité : ans la douceur de l’évocation.
Lorsqu’on est au milieu de la foule, on est comme isolé et quand on est isolé, on est comme entouré. On est étranger parmi les gens et présent tout en étant absent. Le corps et là mais le cœur est ailleurs et on est plongé dans les délices de l’invocation.
Sidna Ali qualifiait ainsi les familiers de Dieu : « Ce sont des gens qui ont perçu la réalité des choses par le savoir. Ils ont atteint l’esprit de la vérité. Il leur est facile ce qui est difficile aux égarés. Ils sont familiers de ce qui effare les ignorants. Ils sont en ce monde par leurs corps mais leur âme est suspendue au trône suprême. Ce sont les légataires de Dieu sur terre, ceux qui appellent à sa loi »
Louange à Dieu comme rappel aux serviteurs et comme raffermissement dans la dévotion pour les pieux parmi les musulmans, et que la grâce et la félicité soient sur le prophète de la religion pure sur sa famille, sur ses compagnons, sur ceux qui suivent sur la voie de la bienfaisance et de l’excellence et sur les savants de la commenté des musulmans de tous temps.
Celui qui est pleinement dans une situation de familiarité n’a de désir que pour l’isolement. Ainsi, on racontait qu’Ibrahim Ibn Al Adham répondit quand on lui avait demandé d’où il venait- il venait de la montagne : « J’étais dans la familiarité de Dieu ». La familiarité de Dieu entraîne un sentiment de tristesse hors de lui. Voici tout ce qui est un empêchement à l’isolement est pénible pour le cœur. On raconte que Sidna Moise est resté longtemps sourd aux paroles des gens après que le Seigneur lui parlé. Si quelqu’un venait lui parler, il commençait à délirer.